Mesdames et messieurs, responsables de clubs de volley-ball,
Nous vivons tous actuellement en étant obligés de respecter des restrictions qui nous ont été imposées par nos responsables politiques suite à la deuxième vague de la pandémie qui nous touche maintenant depuis un an.
Et malheureusement, si nous nous intéressons maintenant aux interviews accordées par notre premier ministre ou par notre ministre de la santé, il est facile de comprendre que des allègements de ces mesures, à part peut-être la possibilité pour les coiffeurs de rouvrir leur salon, ne sont pas à l’ordre du jour, même pas après le prochain comité de concertation du 22 janvier prochain, d’autant plus qu’un variant de ce virus a déjà franchi la Manche. Il a même été question de les maintenir jusqu’en mars.
Il est dès lors impossible d’envisager de reprendre les compétitions, même si la FVWB n’a toujours pas pris position en ce sens.
Au niveau provincial, oublions les matchs qui auraient dû se dérouler au moment de la réouverture des salles en respectant les matchs tels qu’ils se présentaient au calendrier au moment de la réouverture, et concentrons-nous sur une coupe provinciale complète avec comme enjeu un tournoi final et une remise de coupe, comme il est de tradition.
Il est bien entendu que pour pouvoir mener cette coupe à bien, il devra nous rester suffisamment de week-ends pour que le tournoi final puisse se dérouler dans le courant du mois de mai, à savoir 6 week-ends. L’idéal serait de pouvoir débuter les groupes mi-mars au plus tard pour pouvoir disputer les finales aux environs de la mi-mai au plus tard, tout en laissant libre le week-end de Pâques. Le maintien des finales le 1er mai serait bien sûr préférable, cette date coïncidant avec le début des transferts.
Dans ces conditions, il est évident que les frais d’inscription au championnat ne vous seront pas facturés.
Croisons les doigts pour que les salles ouvrent assez tôt pour pouvoir lancer les premiers matchs.
Nous sommes désolés de devoir prendre cette décision dès maintenant, mais la situation est telle que nous ne pouvons pas faire autrement.
Le président Le secrétaire
M Forget G Burton